Au-dessus du flou! Je ne sais plus si je peux encore trouver de bonnes inspirations pour écrire et décrire ce monde différent. Je porte toujours en moi des blessures du vide créé par le relai du temps passé entre le présent. Je vois ces sourires soumis aux effets douloureux des choix douteux des gens qui s'accrochent aux dires des faux qui prédisent le doute sur tout en tout. Sauf que je vois encore dans le monde des vivants des zones d'espoir qui attendent le rétablissement des cœurs endeuillés par les trahisons. Peut-être ces baumes dans l'espérance produisent sans doute la joie de croire qu'on vit aussi bien sans grand bien. Je me demande si je sais bien faire le bien car parfois ces plans sont pleins de controverses et on se demande où se trouve la queue du corps ou le cœur de la conscience humaine. Alors je m'évertue à parcourir l'intérieur de mes pensées qui séparent le désespoir fuyant et le fil du temps qui vient et va sans vents réguliers. Je ne sais plus rien dire sans souffrir des craintes qui se posent sur mes choix et s'opposent au bien-être envisageable pour les autres et moi. Dans cette perspective de juguler mes réflexions sur un tableau fixé sur la moralité des hommes, Je continue de fouiller dans cette histoire récente, au fond des atouts et échecs produits par le temps sur les routes tracées du bonheur possible que visent les gens chaque jour pour leur stabilité sociale. Gabin Conrad AFANGNIDE “Ma pensée et ma signature “